Devant une marée humaine venue l’écouter, il a promis la gratuité de l’enseignement secondaire
Par YHR

Après avoir lancé officiellement sa campagne électorale dimanche dernier au stade des Martyrs devant une foule immense, le Président de la République, Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, candidat à sa propre succession, a entrepris, hier lundi 20 novembre, une tournée de campagne à travers le pays, avec comme première étape la province du Kongo Central, précisément par la cité côtière de Moanda, où une marée humaine s’est mobilisée pour l’accueillir et écouter son message.

Dans son discours, Félix Antoine Tshisekedi a promis à la foule venue l’écouter la gratuité de l’Enseignement secondaire, une fois que les Congolais lui auront renouvelé leur confiance à la tête du pays.

La veille lors du lancement officiel de sa campagne, au Stade des Martyrs de la Pentecôte, FATSHI a vanté le bilan de son premier mandat en mettant en avant la gratuité de l’enseignement de base, la gratuité de la maternité et la couverture santé universelle, ainsi que le programme de développement des 145 territoires, qui, d’après lui, placent le Congolais au centre de son action.

 » Si vous me faites confiance, vous serez heureux, faites-moi encore confiance et vous verrez que nous bâtirons notre pays ensemble  » a lancé le président sortant.

Le locataire du Palais de la Nation envisage de mettre à profit les ressources multiples de la République Démocratique du Congo pour améliorer les conditions de vie de ses concitoyens.  » Notre objectif est de démarrer une production locale, car notre agriculture a le potentiel de nourrir tous les Congolais, et nous n’avons pas besoin d’acheter de la farine de maïs, de manioc ou de riz à l’étranger.  » a promis le numéro un rd congolais.
 » Si vous me faites confiance, vous serez heureux… « 

Au total, 25.832 candidats sont inscrits pour les élections législatives, et 44.110 pour les organes provinciaux et 31.234 pour les conseils municipaux, selon La Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI), qui fait face à des difficultés d’organisation du vote sur les 2,3 millions de kilomètres carrés, avec des infrastructures limitées.