Retour à Pandora dans le film « Avatar : la Voie de l’eau »
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Par Yves Mitondo
A partir de vendredi 16 décembre, les cinéphiles kinois pourront suivre les aventures de Jake Sully et Neytiri dans le film « Avatar: La Voie de l’eau ». Dans cette suite d’ « Avatar » qui dure 190 minutes, Jake et Neytiri ont formé une famille et font tout pour rester aussi soudés que possible.
Le couple se voit néanmoins obligé de quitter son foyer pour explorer les différentes régions encore mystérieuses de la planète Pandora. Lorsqu’une ancienne menace refait surface, Jake va devoir mener une guerre difficile contre les humains.
De nouveaux dangers
Pour rappel, dans la précédente partie de cette franchise, sortie en 2009, l’action se situe en 2154 sur Pandora, une planète géante gazeuse recouverte d’une jungle luxuriante.
Elle est peuplée notamment par les Na’vis, des géants bleus anthropomorphes vivant en harmonie. Ils doivent se défendre contre l’invasion d’humains, venus exploiter l’unobtanium, un minerai rare susceptible de résoudre la crise énergétique sur Terre.
Dans ce cadre jake sully, un anicne marine paralysé des jambes se voit proposé de voir son esprit incarné dans son avatar Na’vis.
Le colonel Miles Quaritch lui confie la mission d’espionner mes autochtones. Mais au fur et à mesure que le jeune homme apprend à connaitre ses nouveaux mais et surtout la belle Neytiri, il est amené à faire un choix.
Plus de 2,8 milliards de dollars américains de recettes dans le monde
Réalisé par James Cameron, le film a connu une réussite planétaire à sa sortie. Bien qu’il soit l’un des plus coûteux de toute l’histoire du cinéma, avec un budget de 237 millions de dollars us, son succès public lui a permis de dégager des bénéfices après seulement dix jours d’exploitation, puis de récolter plus de 2,8 milliards de dollars américains de recettes dans le monde.
Le long-métrage a été le cinquième film à passer la barre symbolique du milliard de dollars de recettes et le premier film à atteindre les 2 milliards, devenant, après seulement six semaines d’exploitation, le plus gros « hit » de l’histoire du cinéma, dépassant même « Titanic », également réalisé par Cameron. Celui-ci a aussi signé les deux premier opus de la saga « Terminator »