L’implémentation de la bonne gouvernance fait peur
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Par MKM
Ce n’est pas de sa propre volonté que l’Inspecteur général des Finances, Chef de service, fait de la lutte contre la prédation financière, son cheval de travail. Jules Alingete Key est entrain de traduire en acte les missions lui confiées de lutter contre les détournements des deniers publics. Il sert ainsi de brigade au Président de la République contre les actes illégaux en matière de finances publiques.
Ayant rang de Ministre et son adjoint celui de Vice-ministre, Jules Alingete Key , a mis en place des mécanismes de contrôle du Trésor (des recettes et dépenses) et celui de la régularité dans les Entreprises du Portefeuille et des Établissements publics .
Il en est aussi de la patrouille financière dans 5 provinces jusque-là, en attendant l’élargissement de l’opération . Tout comme l’examen des marchés publics et le fonctionnement de la Banque centrale. Bref, l’IGF a tout le pouvoir de suivre de près les biens, les maisons et les véhicules où il y a les intérêts de l’État.
Trois sortes de contrôle sont à sa disposition pour bien mener son job salutaire pour éreinter la prédation avec son cortège de malheur, comme le chômage, la misère et l’éloignement des investissements. Il s’agit du contrôle a posteriori, le contrôle concomitant et celui à priori.
Le deuxième cité est très d’application pour l’heure, c’est qui justifie la présence des inspecteurs de finances dans plusieurs entreprises publiques et établissements publics, où les réalisations encourageantes s’enregistrent, à l’instar des payements réguliers des salaires et l’apurement des arriérés. Au regard du degré des antivaleurs, le contrôle a priori s’applique.
A l’heure qu’il est, le travail abattu a réussi à modifier le comportement des mandataires publics. Le payement à procédure d’urgence, à la base de plusieurs méfaits, a été stoppé. Comme les exonérations illégales. La place de cette structure a été pour beaucoup en mettant fin à la cacophonie d’ans la gestion des finances publiques.
D’une autonomie de gestion et placée sous l’autorité du Président de la RDC, l’IGF fait peur. Surtout avec ses inspecteurs OPJ, elle transmet sans tergiverser les dossiers indélicats à la disposition du Procureur général.