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Le samedi 1er septembre à l’IFK : La science-fiction à l’honneur dans le dessin animé « La planète sauvage »

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Le samedi 1er septembre à l’IFK : La science-fiction à l’honneur dans le dessin animé « La planète sauvage »

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Les amateurs du genre vont apprécier le dessin animé « La planète sauvage » le samedi 1er septembre à partir de 16 h 00 à la Salle de cinéma de la halle de la Gombe. En entrée libre, ils vont découvrir la    planète Ygam, sur laquelle vivent les Draags, une espèce d’humanoïdes géants bleus. Ayant  atteint les plus hauts sommets de la connaissance, ils vivent tournés  vers la méditation.

Des créatures bleues de douze mètres de haut

Leurs enfants aiment avoir pour « animaux de compagnie » de minuscules animaux familiers, les oms, ramenés d’une lointaine planète dévastée, Terra. Certains Draags considèrent les oms comme nuisibles, car les spécimens qui s’échappent et retournent à l’état sauvage ont tendance  à se multiplier et à  voler  des biens appartenant aux Draags.

Terr (Éric Baugin) est un bébé dont la mère, une oms sauvage morte, est recueille par une Draag appelée  Tiwa(Jennifer Drake). Terr grandit, il devient un adolescent, alors que Tiwa reste une enfant. Elle utilise sur l’oms un outil qui ressemble à un serre-tête, et qui permet d’apprendre toutes sortes de connaissances.

Les oms s’échappent

Mais un jour Terr s’échappe avec le serre-tête. Une om sauvage le croise et le mène dans sa tribu, établie dans l’arbre d’un parc draag abandonné. Accepté par la tribu, il permet à divers  membres de la tribu d’utiliser le serre-tête, ce qui leurs permet de progresser. Un jour, le parc est « désomisé ». Une partie des oms arrive à s’enfuir, mais deux Draags les aperçoivent et se mettent à en écraser un certain nombre.
Les oms réagissent, ils tuent un Draag, l’autre s’enfuit. Les oms mettent le cap sur un entrepôt de fusées abandonné…
Ce dessin animé de 72 minutes est sorti en 1973, réalisé par René Laloux, avec des dessins de Roland Topor. Le scénario s’inspire librement du roman « Oms en série » de Stefan Wul.

Par YHR

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