3ème convention de la Dynamique de l’opposition : «Pour un Congo libre et prospère, c’est encore possible»
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« Un Congo libre et prospère, c’est encore possible ». Tel est
le thème de la troisième convention de Dynamique de l’opposition politique Congolaise qui ouvert ses travaux hier mardi 29 mai au collège Boboto, à Kinshasa /Gombe.
Pour son coordonateur, Martin Fayulu Madidi, cette Convention se veut historique, car il s’agit en fait pour les membres de cette plate-forme politique de baliser la voie afin de briser les chaines de la dictature actuelle, qui étouffe les énergies congolaises en vue d’enclencher le mouvement vers la lumière, et la prospérité à laquelle les gens ont droit.
Cela, au regard des différents talents et richesses incommensurables donnés si gracieusement au pays. Cette 3ème convention doit permettre la transformation de la Dynamique en regroupement politique électoral.
Il s’agit aussi d’examiner en profondeur de l’environnement politique actuel et le processus électoral tel que mené actuellement par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI). Selon Fayulu, la situation actuelle du pays n’est pas une fatalité. Au contraire, c’est un appel collectif à une sorte d’immersion intérieure pour découvrir la pépite qui est enfouie dans les Congolais et la ramener à la surface de la grandeur de ce qu’ils représentent.
Pour Fayulu, la mouvance kabiliste a « pollué l’environnement congolais et aucune lueur d’espoir n’est permise dans le système mis en place ». Pour Fayulu, la mouvance kabiliste doit « dégager », elle ne tient plus qu’à un fil. Pour lui, les Congolais ont donc le devoir de le couper très rapidement, afin d’y mettre fin et ouvrir la voie à des perspectives heureuses.
C’est une question de temps. Pour y parvenir et au regard des défis qui se dressent devant eux, il leur faut procéder avec méthode et promouvoir la réflexion, la cohésion, le sérieux, le travail et la discipline de groupe.
Par Julie Muadi