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Décédé en Afrique du Sud : Le corps de Joseph Olangi arrive le jeudi 19 octobre à Kinshasa

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Décédé en Afrique du Sud : Le corps de Joseph Olangi arrive le jeudi 19 octobre à Kinshasa

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Jusque-là, le lieu de son inhumation reste encore inconnu

Décédé le 1er Octobre dernier en Afrique du Sud, la dépouille mortelle de Joseph Olangi, président de la Fondation Olangi-Wosho, arrive à Kinshasa le jeudi 19 octobre prochain. Son épouse, Elisabeth Wosho, communément appelée « Maman Olangi » se trouve déjà dans la capitale congolaise. Dès son atterrissage à l’aéroport international de N’djili, le corps de l’illustre disparu sera exposé au quartier général du Ministère Chrétien du Combat Spirituel (MCCS), situé 17ème rue/Q.Industriel, dans la commune de Limete, pour une veillée mortuaire.

Jusque-là, le lieu de l’inhumation du berger Olangi n’est pas encore connu, a confié vendredi dernier au journal La Tempête des Tropiques, le Conseiller en communication de la Fondation Olangi-Wosho, Tino Luboya. Toutefois, c’est le samedi 21 octobre qu’interviendra l’enterrement.  Selon M. Luboya, la date prévue pour le rapatriement de ce corps connaît un peu de retard parce que les fidèles de MCCS de l’étranger ont voulu assister aux obsèques. Raison pour laquelle, ce temps leurs a été accordé pour remplir leurs formalités de voyage.

A la question de savoir les souvenirs qu’il garde de son berger Joseph Olangi, M. Luboya reconnaît tout de même qu’après avoir travaillé plus de 15 ans comme son Conseiller en communication, il garde énormément de souvenirs. Et d’ajouter « je garde de lui, le souvenir d’un homme grand et simple à la fois. Sa grandeur ne l’avait pas empêché à être simple. C’est cela la grandeur dans la simplicité. Nous étions ses enfants parce que c’est lui-même, par exemple, qui prenait en charge notre accoutrement lors de notre mariage ».

Pour l’orateur, l’illustre disparu était un savant. « Nous avons grandi à ses côtés, avant qu’il ne puisse nous encadrer dans notre métier de journaliste. Parfois les gens ne comprennent pas pourquoi est-ce que nous les appelons papa et maman (Joseph et Elisabeth Olangi), c’est  puisqu’ils les sont réellement du fait qu’ils ne se sont pas limités à la prédication, mais ils nous suivaient pas à pas », a-t-il conclu.

Respect du testament du défunt

En attendant l’organisation des funérailles, les programmes des cultes s’organisent normalement au MCCS où les fidèles continuent d’adorer et de louer leur Seigneur comme à l’accoutumée. Le motif est de pouvoir mettre en pratique la dernière volonté du défunt qui, informe M. Luboya, avait souhaité d’être pleuré dans la louange et l’adoration, tout en recommandant aux fidèles de célébrer Jésus et d’être bien habillés.

Après avoir servi Dieu pendant plusieurs années, poursuit-il, le co-fondateur de la Communauté Internationale des Femmes Messagères du Christ (CIFMC) a refusé d’être pleuré comme tout le monde.

Par TSM

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