L’édition 2017 de la foire internationale de Kinshasa (FIKIN) ne bénéficie pas d’activités intellectuelles comme de conférences- débats,  conférences de presse et autres liées à l’épanouissement de l’esprit humaine. Seuls les pavillons, 10,12 et 14 sont  opérationnels, parmi les cinq réhabilités et mais ils n’y a pas d’activités susceptibles d’attirer le public.

Ces endroits sont les lieux adaptés pour acquérir les connaissances intellectuelles et autres liées aussi au rôle que joue le secteur économique (les entreprises)de la RDC  et des autres Etats invités à l’édition. C’est pourquoi au pavillon 12, seule la Société Nationale de chemin de fer du Congo (SNCC) y a été exposée.

Aucune conférence-débat n’y s’est tenue, alors que l’édition avance petit à petit à sa clôture, le 28 août prochain. Même son de cloche pour les pavillons 10 et 14, où les entreprises l’Office Congolais de contrôle (OCC), la Société Nationale d’Assurance (Sonas) sont présentes. Au pavillon 14, où la Direction Générale des Douanes et Accises (DGDA) et la Regideso ont érigé leurs stands, ne sont pas épargnés par cette morosité.

Cependant, certaines sources dignes de foi affirment que la situation serait entretenue par les autorités urbaines, qui octroient des autorisations d’ouverture de Kermesses à des particuliers, pénalisant ainsi la FIKIN. A titre d’exemple, la foire agricole de Kinshasa, dans les installations de l’Académie des beaux- Arts et la kermesse organisée au sein du stade des Martyrs.

Par Guylain Imbula