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Développement des projets énergétiques en Afrique : Inga III concerné dans le projet

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Développement des projets énergétiques en Afrique : Inga III concerné dans le projet

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L’Afrique a amorcé sa transition énergétique pour soutenir une croissance économique sans précédent. Surtout qu’elle est considérée aujourd’hui comme étant la région du monde la plus dynamique en matière de développement de projets pour faciliter et accroître l’accès à une énergie propre et renouvelable. Ainsi, le Groupe Bolloré, Transport & Logistics et Blue Solutions s’inscrivent dans cette démarche ambitieuse de développement énergétique durable du continent.

A ce jour, les équipes d’experts de cette structure sont impliquées sur plus de 100 projets énergétiques en Afrique, dont ceux liés au développement du barrage Inga en République Démocratique du Congo, (deuxième barrage plus grand au monde) et la ferme éolienne du lac Turkana au Kenya (la plus grande d’Afrique).

C’est un rendez-vous à ne pas manquer, quand on se réfère aux pays cités comme prometteurs en termes de financement et de développement de projets énergétiques par Pierre-Yvan Gravière, directeur Afrique Power et Energie au sein de Bolloré Logistics.

Selon le directeur, l’Afrique connait une croissance exponentielle de développement de projets énergétiques sur son territoire. Beaucoup de pays sont concernés a-t-il souligné en précisant que « les marchés suivants sont particulièrement importants : Maroc, Egypte, Sénégal, Mali, Burkina Faso, Guinée Conakry, Côte d’Ivoire, Bénin ou encore le Kenya », a-t-il précisé.

Il a relevé qu' »il est important de s’imprégner de la culture de chaque pays de la manière la plus ouverte et complète possible, de prendre le temps d’aborder l’environnement. La manière de faire du business n’est pas la même en Côte d’Ivoire et au Kenya ».

Et de poursuivre, « nous leur conseillerions d’être patients et de s’associer à des partenaires locaux solides pour conduire leurs projets. Nous leur conseillerions aussi de ne pas se baser sur leurs expériences passées et d’aborder la diversité culturelle et l’environnement avec chaque fois un regard neuf.

Par LK Tshibambe

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