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Super Coupe de la CAF : Mamelodi Sundowns succède à Entente sportive de Sétif

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Super Coupe de la CAF : Mamelodi Sundowns succède à Entente sportive de Sétif

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La formation de Mamelodi Sundowns d’Afrique du Sud a battu le Tout Puissant Mazembe (1-0) samedi dernier au Loftus Versfeld Stadium de Pretoria remportant la 25ème édition de la Super Coupe de la Confédération africaine de football. L’unique réalisation de la partie a été signée le Brésilien Ricardo Nascimento à la 83ème minute sur penalty consécutif à une faute du défenseur Issama Mpeko sur Hlompho Kekana, le capitaine du club sud-africain.

Avec cette consécration,  les « Brésiliens » de la capitale économique de l’Afrique du Sud est la deuxième équipe du pays de Nelson Mandela à gagner la Super Coupe de la CAF, 21 ans après Orlando Pirates de Johannesburg. Ils empochent pour ce faire une enveloppe de 100.000 dollars américains puisque la Confédération africaine de football a décidé de récompenser désormais le vainqueur de cette compétition. Tout Puissant Mazembe, le perdant, se retrouve avec 75.000 dollars.

Ainsi, comme le veut une certaine tradition, le vainqueur de la Ligue des champions d’Afrique  a pris le dessus sur celui de la Coupe de la Confédération. Seulement, dans cette explication officiée par l’arbitre égyptien Ghead Zaglol Grisha, on a senti que les Corbeaux lushois souffraient du départ de beaucoup d’éléments de l’ossature de base de la saison dernière.

Mais aussi et surtout du manque de compétition de suite de la suspension du championnat national de la Division I congolaise. Il était difficile de reconnaître le jeu des « Badia nguena » qui ont évité une défaite plus corsée grâce à une prestation remarquable de gardien de Gbohouo, l’ivoirien des Mangeurs des crocodiles.

On rappellera que, dans cette confrontation, le Tout Puissant Mazembe a été coaché par Pamphile Mihayo, l’ancien capitaine devenu le deuxième entraîneur du club. Le nouveau patron du staff technique nouvellement engagé était dans les tribunes. Thierry Froger, le technicien français, sait désormais par quel bout commencer son travail.

Par JC Lomboto

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