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MP : un membre en guerre contre la cacophonie et la confusion

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MP : un membre en guerre contre la cacophonie et la confusion

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Le Mouvement des Réformateurs Libéraux (MRL), parti cher à l’honorable Patrick Kakwata, appartenant à la Majorité présidentielle, dit suivre avec attention l’évolution de la situation politique en République démocratique du Congo.

Dans une déclaration politique, faite hier jeudi 5 janvier  au siège de cette formation politique à Kinshasa, le député national Patrick Kakwata a annoncé qu’il  » s’engage dans la lutte contre la cacophonie et la confusion dans les prises de positions et interventions des uns et des autres « . Ce,  » dans le souci de bâtir une société congolaise organisée et structurée « .

Le MRL invite chacun, de la Majorité, de l’Opposition comme de la société civile, à jouer son rôle dans le respect des textes. Car tout le monde se demande  » qui fait quoi en RDC, qui fait quoi dans les institutions de la République, qui fait quoi dans les partis et regroupements politiques, qui fait quoi pour le bien-être des Congolais, qui fait quoi… « .

Privilégier l’intérêt supérieur de la nation

Le passage de 2016 à 2017 a été marqué par la signature de l’accord politique global et inclusif en date du 31 décembre 2016 au centre interdiocésain. Le MRL salue les efforts de toutes les parties prenantes engagées dans la recherche d’une solution pacifique née de la non-tenue des élections en 2016.

Tout en encourageant la Conférence épiscopale nationale du Congo (Cenco) dans la recherche de l’inclusivité, le MRL invite tous les acteurs à privilégier l’intérêt supérieur de la nation et à œuvrer pour le bien-être des Congolais.  » Le climat politique apaisé obtenu au prix d’énormes sacrifices reste encore fragile et appelle à la consolidation des actes et attitudes responsables de la classe politique « , soutient ce leader des partis extraparlementaires de la Majorité Présidentielle (MP).

Bien avant, le MRL a rappelé que l’an 2016, voulu année électorale conformément à la Constitution, ne l’a pas été à cause des contraintes d’ordre technique et financier, évoquées par la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI).

Par LM

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