La société civile/Forces vives-RDC lance une Université citoyenne
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La Société civile Forces vives a lancé le mardi 22 novembre dernier, à son siège de la Gombe, la première séance académique de l’université de la citoyenneté avec comme Recteur Mme Magguy Kiala et le Secrétaire Général Académique, Me Carlos Mupili.
Les participants ont été sélectionnés pour éviter un auditoire pléthorique, ce qui justifie un effectif composé de bureau de la coordination de la SOCIKIN et les présidents des 24 communes et des institutions universitaires de Kinshasa y compris les jeunes leaders de MPJC (Mouvement Patriotique de la Jeunesse Congolaise) conduit par leur coordonnateur Samy Wetchi.
Selon Me Mupili, cette université de la citoyenneté a pour mission de réinventer le peuple congolais en lui donnant une dose adéquate de la formation citoyenne basée sur l’éducation civique et politique, le respect des droits humains, la morale politique, le management public territorial, la démocratie et les élections ,l’histoire politique du Congo corrigée, la Géographie du Congo corrigée, initiation à la philosophie, Etude des acteurs sociaux et politiques du Congo, l’histoire précoloniale et coloniale corrigée, initiation aux sciences juridiques, Analyse et gestion de projet, Négociation et Gestion des conflits.
Temps fort
La cérémonie solennelle de l’ouverture académique a connu quatre étapes en comment par le discours de l’ouverture de madame Magguy Kiala le recteur de l’université, les exposés des orateurs dont Freddy Mulumba Kabuaya sur la RDC face au complot de la balkanisation, Mfumu Ntoto sur le rôle de la nouvelle classe politique pour l’unité et la paix nationale et l’Abbé Professeur Bahala sur la responsabilité citoyenne pour la consolidation de la paix et de l’unité en RDC.
Il faut signaler aussi la remise de diplôme d’honneur à Freddy Mulumba Kabuya Wa Bondo par le MPJC pour son combat patriotique contre la balkanisation. L’ouverture de l’université citoyenne a permis à chaque participant à se responsabiliser sur son devenir et celui de la patrie sur le plan sécuritaire et économique, l’esprit d’auto -prise en charge.
Par Godé Kalonji