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Assemblée Nationale : Matata Ponyo dépose le budget 2017

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Assemblée Nationale : Matata Ponyo dépose le budget 2017

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Selon le Premier ministre, ce budget est évalué à 5 mille milliards 600 millions de francs congolais

Le Premier  ministre a déposé, hier mardi 25 octobre, le projet de loi de finances de l’exercice 2017 au Bureau de l’Assemblée Nationale, lors d’une descente au Palais du Peuple, siège du Parlement de la République, avec une forte délégation de son Gouvernement.

Augustin Matata Ponyo a, à cette occasion, indiqué qu’à la lumière de ce projet de loi, le budget de l’exercice 2017 est évalué à 5 mille milliards 600 millions de francs congolais et que la tenue des élections constitue la priorité de cette disposition légale. L’homme  a également expliqué que, comparativement au budget de l’exercice 2016 en cours d’exécution, il se dégage une diminution de 15%.

A une question de la presse, Augustin Matata Ponyo a répondu que, le projet de budget 2017 étant déjà élaboré et adopté au Gouvernement, il est disposé à se présenter devant les députés nationaux pour le défendre, si l’Assemblée Nationale le lui demande.

Le chef du Gouvernement a aussi expliqué qu’il a tenu à déposer ce texte légal en vertu du principe de continuité des institutions et services de l’Etat, même s’il est partant. Pour sa part, l’opinion retiendra que le début de l’examen de tout projet de loi de finances est toujours conditionné par l’examen du projet de loi de reddition des comptes de l’exercice budgétaire précédent et, dans le cas échéant, celui de l’exercice 2015.

A ce titre, les observateurs voudraient voir les députés nationaux se mettre au travail dans un bref délai pour doter la République Démocratique du Congo d’un budget capable de l’aider à passer l’année 2017 en toute bonté. Les élus du peuple devront ainsi s’appesantir sur la hauteur de ce budget et l’adapter aux réalités du contexte  économiques et sociales actuelles, en vue d’alléger, tant soit peu, les souffrances auxquelles les Congolaises et Congolais se trouvent  confrontés.

Par Marcel Tshishiku

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