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Lors d’une Conférence internationale prévue du 2 au 5 juillet 2024 à Brazzaville : l’adoption d’une stratégie mondiale/africaine d’afforestation et reboisement attendue

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Lors d’une Conférence internationale prévue du 2 au 5 juillet 2024 à Brazzaville : l’adoption d’une stratégie mondiale/africaine d’afforestation et reboisement attendue

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Par Marcel Tshishiku

Dans sa newsletter publiée vendredi dernier, l’Association technique internationale des bois tropicaux (ATIBT) affirme que la Conférence internationale sur l’afforestation et le reboisement (CIAR), prévue du 2 au 5 juillet 2024 à Brazzaville, vise à adopter une « stratégie mondiale/africaine d’afforestation et reboisement (et des actions prioritaires), y compris les aspects techniques, scientifiques et financiers ».

À en croire cette source, cette Conférence vise également à faire le point sur les progrès réalisés en matière de boisement et de reboisement, documenter les bonnes pratiques et les enseignements tirés, identifier les défis auxquels l’Afrique est confrontée et proposer des recommandations sur la voie à suivre ; à se préparer à demander l’inclusion de la Décennie africaine et mondiale du boisement dans l’agenda des Nations Unies par le biais d’une déclaration africaine et mondiale sur l’afforestation et le reboisement ; et à désigner un organe chargé de suivre la mise en œuvre des recommandations de la conférence reboisement.

L’implication de la communauté scientifique est sollicitée pour la réussite de ces assises organisées par la Commission de l’Union africaine, le Forum des Nations Unies sur les forêts, le Forum forestier africain et le Gouvernement de la République du Congo.

Félix-Antoine Tshisekedi invité

Dans cette perspective, le Président de la République du Congo, Denis Sassou Nguesso, avait envoyé, il y a quelques jours, une invitation officielle à son homologue de la République Démocratique du Congo, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, pour lui permettre de participer aux travaux de la CIAR. Cette invitation a été remise au concerné par Mme Rosalie Matondo, ministre congolaise de l’Économie forestière venue à Kinshasa pour ce faire.