Par MKM

L’ appel du CSAC donne l’air de n’avoir pas été traité en plénière. Il aurait été mieux qu’il soit publié par les personnes attitrées pour éviter des malentendus et des terres impropres, mettant en cause la réforme de la presse.

Le terme  » effraction » risque de servir des brèches à la justice que les efforts engagés et voulus ont toujours déconseillé le recours. Nulle part part dans le Code d’éthique et de déontologie des journalistes, allusion est faite à cette terminologie à double tranchant.

À la place il est généralement fait mention du dérapage, généralement pris en charge par l’Autorégulation. La dépénalisation du délit de la presse est ,tant désirée , est aussi à ce prix.

Un autre aspect qui complique un peu , Acte séditieux. Un débat risque d’ envenimer la profession qui , elle se contente d’.exploiter les faits .
En principe., c’est. à.ce niveau de sensibilisation et conscientisation.

Le contrôle des médias en ligne constitue un problème non négligeable comme.les autres. Il convient de bien se demander si le CSAC est bien outillé à présent pour.mettre en application le Code sur le Numérique.