Par Tantia Sakata

Le Directeur du Centre d’Etudes pour l’Action Sociale (CEPAS), le révérend père SJ Alain Nzadi-A-Nzadi SJ, a, le mardi 31 mai à Kinshasa, procédé à la clôture officielle des journées sociales du CEPAS, placées sous le thème :  » s’approprier un processus électoral mal engagé : pistes de réflexion et d’action ».  » Ces trois derniers jours, du 29 au 31 mai, nous avons essayé ensemble de réfléchir sur les pistes de solutions qui devront permettre aux citoyens congolais de se réapproprier le processus électoral et à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) d’offrir au pays ses plus belles élections que nous voulons tous démocratiques, transparentes et inclusives « , a-t-il déclaré dans son discours de clôture.

Le Directeur du CEPAS a signifié également que les panelistes ont, au cours des échanges, soulevé certains écueils sur le processus électoral. Il s’agit notamment des dissensions politiques, de la tribalisation du jeu politique, de l’instrumentalisation de l’appartenance clanique ou régionale, des calculs mesquins de certains acteurs politiques et de l’insécurité.

Face à ces problèmes évoqués, la volonté politique et citoyenne des principaux acteurs concernés (partis Le Directeur du Centre d’Etudes pour l’Action Sociale (CEPAS), le révérend père SJ Alain Nzadi-A-Nzadi SJ, a, le mardi 31 mai à Kinshasa, procédé à la clôture officielle des journées sociales du CEPAS, placées sous le thème :  » s’approprier un processus électoral mal engagé : pistes de réflexion et d’action ».  » Ces trois derniers jours, du 29 au 31 mai, nous avons essayé ensemble de réfléchir sur les pistes de solutions qui devront permettre aux citoyens congolais de se réapproprier le processus électoral et à la Commission Electorale Nationale Indépendante (CENI) d’offrir au pays ses plus belles élections que nous voulons tous démocratiques, transparentes et inclusives « , a-t-il déclaré dans son discours de clôture.

Le Directeur du CEPAS a signifié également que les panelistes ont, au cours des échanges, soulevé certains écueils sur le processus électoral. Il s’agit notamment des dissensions politiques, de la tribalisation du jeu politique, de l’instrumentalisation de l’appartenance clanique ou régionale, des calculs mesquins de certains acteurs politiques et de l’insécurité.

Face à ces problèmes évoqués, la volonté politique et citoyenne des principaux acteurs concernés (partis politiques, société civile, divers groupes d’opinions) dans le processus électoral reste la solution fondamentale. Lors de son intervention, le père Nzadi-A-Nzadi a souligné qu’au-delà du scrutin de décembre 2023, c’est le développement de la RD Congo qu’il faudra asseoir. « Demain, ce sera la transformation des conditions sociales des citoyens dont les futures autorités auront la charge », a-t-il ajouté.

Par la même occasion, il a appelé le peuple, souverain primaire, qui est l’émanation de tout pouvoir d’accompagner le processus électoral par une surveillance citoyenne, avant de faire savoir que ce processus est quasiment irréversible. Concernant e le rôle de la société civile dans ce processus électoral, le père Nzadi-A-Nzadi est d’avis qu’elle doit jouer son rôle d’éducation civique de la population étant donné que la participation de tous est exigé, a-t-il dit lors d’une interview accordée à la presse.

Il convient de signaler les recommandations issues de cette rencontre vont être harmonisées et les participants sont conviés à faire leurs observations. Pour rappel, plusieurs sujets ont été abordés au cours de ces journées sociales édition 2023 entre autres comment prévenir les conflits et anticiper la violence et le discours de haine avant, pendant et après les élections de 2023.