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Les signataires de l’Accord de la Cité de l’UA soutiennent le compromis politique du centre interdiocésain

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Les signataires de l’Accord de la Cité de l’UA soutiennent le compromis politique du centre interdiocésain

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Gauthier Mputu Doko, membre du Rassemblement des forces politiques et sociales acquises au changement signataire de l’Accord de la Cité de l’Union Africaine a procédé hier lundi 9 janvier 2017 à la mise au point de son groupe par rapport à l’Accord politique obtenu le 31 décembre 2016 sous la médiation de l’Eglise catholique romaine.
Il a, au nom de son groupe, salué ce compromis politique.

Gauthier Mputu a, en outre, estimait que les participants au dialogue inclusif sous l’égide de la Conférence épiscopale nationale du Congo (CENCO) se sont mis d’accord sur la majorité des questions qui les divisaient, surtout sur l’avenir de Joseph Kabila.

Le président de la République va rester en fonction jusqu’à l’installation de son successeur élu et ne pourra pas briguer un troisième mandat consécutif, s’est–t-il félicité.

Pour lui, entre les accords du 18 octobre 2016 et du 31 décembre 2016, il y a une très grande différence. Pour les signataires de l’Accord de la cité de l’UA, la date des élections était fixée à avril 2018 tandis que pour les signataires de l’Accord du 31 décembre, les scrutins seront organisés au quatrième trimestre de cette année.

Il se félicite de voir que dans l’Accord de la Saint Sylvestre, les signataires se sont accordés à mettre sur pied le Comité de suivi chargé de faire le suivi du chronogramme de mise en œuvre de l’accord. Ce comité sera composé de 28 signataires du nouvel accord avec la présence de la CENCO. Mais il regrette de voir que la MP, l’un des signataires de l’accord du 18 octobre dernier, a signé l’Accord du 31 décembre sous réserve.

Pour  Gauthier Mputu Doko, le plus important est que l’alternance tant attendue par les Congolais sera une réalité vivante comme le président Kabila ne briguera pas un troisième mandat.

Par Julie Muadi

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