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Commune de la Gombe : Des braqueurs emportent 11.000 dollars US d’un bureau de change

La Tempête des Tropiques SOCIETE

Commune de la Gombe : Des braqueurs emportent 11.000 dollars US d’un bureau de change

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Des malfrats ont emporté 11.000 dollars US d’une boutique d’habillement faisant aussi office de  bureau de change, au croisement des avenues Huilerie et Tabu Ley(ex Tombalbaye) dans la commune de la Gombe, le jeudi 6 octobre dernier dans la soirée. C’était lors d’une opération menée par ces malfaiteurs, descendus d’une voiture de marque Toyota. S’introduisant dans ce bureau de change, les braqueurs ont commencé à tirer des coups feu en l’air. Ils  ont pris la poudre d’escampette, emportant leur butin, sans être poursuivis.

Il faut signaler que ces vols à main armée sont devenues très fréquents dans la ville et que chaque jour qui passe, il ne manque jamais des victimes de ces mauvaises pratiques causées soit par des bandits soit par des kuluna, qui commettent leur forfait soit pendant la nuit soit pendant la journée.

Dans ce lot de victimes, il faut compter à peu près 5 journalistes du quotidien la Tempête des tropiques, qui ont été victimes de ces actes de vandalisme. Il n’y a pas longtemps  à la cité Pumbu, située dans la commune de Mont Ngafula, en l’absence du propriétaire de la maison suite à un voyage, un groupe de bandits ont fait irruption dans sa maison à une heure du matin et ont interdit à son épouse  de  sortir de la chambre et de ne pas crier, après avoir  emporté tout ce qui était dans le salon , ils sont sortis et ont commencé à tirer en l’air pour faire peur aux gens.

Voilà comment les paisibles citoyens continuent à être victimes des actes de barbarie causés par ces malfaiteurs. Une autre difficulté c’est bien même les agents de l’ordre mettent les mains sur ces bandits, après  on les retrouve à la cité se promener librement. Le silence des autorités inquiète et fait penser à la complicité, elles sont donc interpellées car elles ont en leur charge la sécurisation des personnes et leurs biens.

Par  Thony Kambila

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