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Selon un groupe de chercheurs américains : La lecture de romans contribue à prolonger l’espérance de vie

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Selon un groupe de chercheurs américains : La lecture de romans contribue à prolonger l’espérance de vie

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La lecture de grands romans aurait la vertu de prolonger l’espérance de vie d’après des chercheurs de l’Université de Yale aux Etats-Unis. Ces chercheurs ont fait cette déclaration à l’issue d’une étude réalisée sur ce sujet et à laquelle ils ont fait participer 3.635 volontaires âgés de 50 ans.

 » La lecture aurait des avantages sur les capacités cognitives. En clair, elle stimulerait le cerveau en améliorant le vocabulaire, la concentration et la pensée critique.

Mais, tous les écrits n’ont pas la même valeur. Pour augmenter son espérance de vie, lire des romans serait plus avantageux que lire des magazines « , indiquent les chercheurs, conseillant de lire pendant plus de 3h30′ par semaine, pour augmenter son espérance de vie de 23% sur 12 ans, soit deux années de vie en plus par rapport aux personnes qui ne lisent pas.

 » A l’avenir, poursuivent les chercheurs américains, les scientifiques souhaiteraient pousser leur analyse pour déterminer si les effets sont similaires selon le format de l’ouvrage – sur papier, sur tablette ou audio – ou selon le genre du livre.

Là-dessus, le philosophe Emmanuel Kant avait déjà démontré qu’une lecture amusante est aussi utile à la santé que l’exercice du corps. « 

Une politique préventive

Contrairement à ces explications, des allégations du genre  » Si vous voulez cacher la vérité à un Congolais, il faut la mettre par écrit  » amènent les observateurs à encourager les pouvoirs publics du Congo Démocratique, les organisations de la société civile congolaise et les organismes internationaux œuvrant dans le domaine de la santé à redoubler d’efforts pour aider les Congolais à incorporer la culture de la lecture dans leur vécu.

Ce conseil est d’autant percutent qu’à la lumière des résultats de certaines enquêtes, l’espérance de vie tourne autour de 45 ans d’âge, dans la plupart des pays du tiers-monde, dont la République Démocratique du Congo.

Pour se rendre compte de la pertinence de ces recherches, il suffit de faire le tour de quelques hôpitaux dans la ville de Kinshasa, afin d’évaluer le taux de morbidité et de mortalité pendant les 5 dernières années.

Les cas d’hypertension, de diabète et tant d’autres maladies tracent une fonction croissante, dans un environnement sociopolitique en proie à une baisse sensible du pouvoir d’achat de la population et à l’indifférence quasi totale de l’autorité gouvernementale face aux aspirations profondes du souverain primaire.

Pourtant, d’autres scientifiques affirment que l’hypertension, par exemple, peut être évitée grâce à une bonne alimentation, à quelques exercices physiques etc.

Le Gouvernement de la République a donc le devoir de mettre sur pieds une politique préventive et de la vulgariser à travers son ministère en charge de la Santé publique.

L’objectif est d’informer, de manière permanente, les Congolais sur les précautions à prendre afin de réduire les risques d’être atteints par des maladies.

Par Marcel Tshishiku

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