La Communauté Christ Lumière du Monde organise du Jeudi 07 au Samedi 10 Juillet 2016, à Kinshasa, le 10ème Truduum d’évangélisation sur le thème:  » Car ta rénommée s’est accrue par l’accomplissement de tes promesses ». Ce triduum veut aider l’intellectuel catholique à se prendre en charge sur le plan spirituel; lui montrer à travers les écritures saintes et les différents témoignages que le vrai combat spirituel ne peut se gagner qu’en Jésus Christ; et enfin lui prouver que Yahvé n’a pas changé, il reste le même hier, aujourd’hui et demain.

En effet, il a été constaté que l’intellectuel catholique dans la plupart des cas ne sait pas se prendre en charge sur le plan spirituel, simplement parce qu’il est ignorant des avantages qu’il a en tant que baptisé.

A cause de l’ignorance ou faute de stratégie, l’intellectuel catholique est souvent Vistule dans le combat spirituel. Ainsi, sa vie chrétienne est caractérisée par des échecs, des tribulations, des inquiétudes.

Par conséquent, on le retrouve facilement dans divers mouvements religieux, mais aussi dans des philosophies ésothériques et mouvement mystiques qui foisonnent la ville de Kinshasa à la recherche d’une quelconque solution.

Ce 10ème triduum est aussi l’occasion pour aider l’intellectuel catholique à recevoir des réponses appropriées à ses différentes préoccupations. Au cours de ce triduum, il y’aura des prières, des témoignages et des prédications. Quatre sous-thèmes seront exploités.

Il s’agit notamment de :  » J’ai été jeune, j’ai vieilli et je n’ai point vu le juste abandonné, ni sa postérité mendiant son pain » Psaume 37,25 ;  » Mon oreille avait entendu parler de toi; mais maintenant mon oeil t’a vu » Job 42,5 ;  » Dieu n’est point un homme pour mentir, ni un fils d’Adam pour se rétracter, ce qu’il a dit, ne le fera-t-il pas? Ce qu’il a déclaré, ne l’exécutera-t-il pas ? Nombres 23,19; et enfin  » Et toute les promesses de Dieu ont trouvé leur Oui dans sa personne » 2 Corinthien 1,20.
Ces prières seront clôturées par un banquet et une messe d’action de grâce à la Cathédrale Notre-Dame du Congo.

Par Carroll Madiya