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Lors d’une conférence-débat à l’ITP/Ngaliema : Cécile Tshiyombo pour l’amélioration de la situation des femmes

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Lors d’une conférence-débat à l’ITP/Ngaliema : Cécile Tshiyombo pour l’amélioration de la situation des femmes

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 » L’égalité est le droit fondamental de la personne humaine, quel que soit son sexe, ses origines, sa culture et sa religion.

Dès lors, comment comprendre la situation dans laquelle se trouvent les femmes dans le monde entier ? Et plus particulièrement les femmes enseignantes dans la Division Urbaine Kin-Ouest, dans la province de Kinshasa, en RDC ?  » C’est ainsi que s’est interrogéla secrétaire généraleadjointe en charge de l’implantation et de l’action Syndicale du Syndicat des Enseignants du Congo (SYECO), Cécile Tshiyombo Kankolongo.

Le leader syndical s’exprimait le samedi 12 mars dernier dans la grande salle de l’Institut Technique Professionnel (ITP/Ngaliema), dans la commune de Ngaliema, lors d’une conférence-débat ayant pour thème :  » la femme c’est planète 50-50 d’ici 2030 « .

C’était à l’occasion de la journée internationale des droits de la femme.

Pour Cécile Tshiyombo, en sa qualité de directrice de l’école Primaire Kengo, l’égalité homme et femme est importante parce que la croissance, le développement et la paix souhaitée de tous en dépendent.  » C’est pourquoi, elle doit être placée au centre de tous les projets avant la prise de toute la décision.

Le thème attribué à ce jour du 8 mars que nous voyons l’engagement entre homme et femme leur participation dans la société  » a insisté l’enseignante.

La discrimination et la violence à l’endroit des femmes sont bien une réalité comme en témoignent les nombreux trafics des femmes, les violences sexuelles, les mariages précoces et forcés, les salaires bas, non avancement dans la carrière.

Il faut ajouter à cela l’inégal accès aux opportunités d’avancement en grade et aux postes des responsabilités aexpliqué l’intervenante, reconnaissant que les inégalités salariales existent dans tous les pays du monde, mais la précarité et les travaux non qualifié sont plus le fait des femmes.

Par Julie Muadi

 

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